Je voudrais revenir sur vos propos, monsieur le ministre.
Vous avez évoqué tout à l'heure, d'ailleurs avec véhémence - vous étiez enflammé -, la loi du 2 janvier 2004 relative à l'accueil et à la protection de l'enfance, présentée par M. Christian Jacob, alors ministre délégué à la famille. Vous avez signalé que nous avions voté contre son adoption.
Cette loi constituait, en effet, un véritable patchwork, tout comme d'ailleurs le présent texte.