Au nom de la commission de l’économie et en l’absence de son président, qui a dû se rendre à la conférence des présidents, je me permets à mon tour de remercier tous ceux qui ont participé à ce débat extrêmement intéressant.
Il ressort des différentes interventions que tous, quelles que soient les travées de cet hémicycle sur lesquelles nous siégeons, nous partageons un constat qui va dans le même sens, celui d’une situation qui n’est pas totalement satisfaisante et qui impose de s’adapter.
Je ne vais naturellement pas rouvrir le débat avec M. le ministre, mais, comme il m’a demandé pourquoi je souriais tout à l’heure à ses propos, je lui dirai que c’est parce que j’ai eu le sentiment en l’écoutant que, face à ce constat et à ce souci d’une nécessaire adaptation, il donnait lui l’impression que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Nous aurons l’occasion de revenir sur tous ces sujets puisque, comme je l’ai dit dans mon intervention liminaire, nous allons poursuivre notre travail, notamment grâce à cette proposition de loi qu’avec Philippe Leroy je vais déposer dans les prochains jours.