M. Patrick Devedjian, ministre délégué. Je me suis déjà exprimé sur ce point. Je vous l'ai dit, nous croyons aux services financiers de La Poste et nous souhaitons les développer, ce que nous ferons dès que nous en aurons la possibilité, comme la loi le permet. Mais nous sommes prudents. Evidemment, nous ne sommes pas aussi prudents que vous qui n'avez rien fait du tout pendant cinq ans : c'était le comble de la prudence !