Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, on peut dire : « encore un rapport ! » Il n'empêche qu'un document de cette nature, qui peut être établi sans obligation législative, permettrait quand même de réfléchir à un certain nombre de problèmes.
Je veux dire, en particulier mon inquiétude très grande face à la disparition progressive des Français au sein des organisations internationales.