Il n'y a pas de montant compensatoire, monsieur Jégou ! J'aurai l'occasion de vous le rappeler dans d'autres circonstances !
Nous avons l'un et l'autre à coeur de veiller à ce que nos idées soient entendues dès lors qu'elles sont au service de l'intérêt général. Vous avez vu combien, dans ce domaine, j'ai été particulièrement sensible aux vôtres : je n'ai fait que boire vos paroles et je les ai même approuvées avec enthousiasme ! Vous saurez donc, vous aussi, renoncer aux montants compensatoires.