Certes, il s'agit d'eau, mais ce sujet est très opaque, vous en conviendrez, monsieur le ministre ! Je crains donc que la péréquation ne soit pas assurée.
On paie aujourd'hui la disparition du FNDAE. On ignore si les agences, en l'état, vont assurer la péréquation, notamment dans les zones rurales. En effet, les agences sont plus ou moins dotées, plus ou moins riches, et on constate une distorsion entre les milieux ruraux et les milieux urbains. Et moi, je ne sais absolument pas aujourd'hui si la péréquation sera assurée.
Donc, tant sur la forme que sur le fond, je soutiens l'amendement qu'a voté la commission des finances, et, s'il devait être retiré, je le reprendrais.