Personne n'était pour le statu quo. Tous souhaitaient une profonde réforme du système national de recherche et d'enseignement supérieur, réforme pour la conception de laquelle ils avaient émis un grand nombre de propositions concrètes et réalistes.
Ils se voient aujourd'hui proposer un texte d'ampleur très restreinte, lourd de menaces pour l'avenir de la recherche.