Indépendamment de mon origine bretonne, j’ai de la persévérance dans mes convictions. Si je défends certains amendements, c’est parce que je pense que l’État doit conserver un minimum de recettes. Or les dépenses fiscales, qui augmentent de plus en plus, aggravent la situation budgétaire et l’endettement de notre pays.
Pour ma part, j’aurais aimé que l’on en reste aux engagements de l’État, c’est-à-dire à un plafond de 12 000 euros.