Peut-être me suis-je mal exprimée, si j’en crois le propos tenu à l’instant par M. Sueur.
Nous ne méconnaissons pas les fortes identités de ces différentes chaînes ou antennes, auxquelles les personnels sont évidemment très attachés.
Prenez cependant le cas de France Inter : c’est aussi une entité humaine, une entité culturelle et même – on peut le dire – une entité démocratique. Pourtant, l’existence de France Inter est inscrite non pas dans la loi mais dans un cahier des charges fixé par décret. La réforme que nous proposons reprend précisément ce modèle.