Ensuite, le redressement des finances sociales est insuffisant, parce qu'il est facial.
Certes, les déficits se réduisent, mais la dette reste vertigineuse, surtout si on la considère dans tous ses aspects. Je ne peux que vous renvoyer à la très intéressante typologie établie par le rapporteur, lors de la présentation du rapport d'information sur la dette sociale de la mission d'évaluation et de gestion des lois de financement de la sécurité sociale, la MECSS, en mai dernier.