Vous ne pouvez pas ignorer la crise, ni ce qui s’est passé dans les années quatre-vingt.
Ce ne sont pas de telles analyses qui aideront notre pays à prendre conscience des défis qui se présentent à lui.
Pour conclure, avant le débat d’orientation qui aura lieu cet après-midi et que je ne veux pas préempter, je veux réagir aux propos que Mme Aubry a tenus hier à la radio. Elle a prétendu que les 35 heures ne posaient aucun problème et que l’Allemagne était plus compétitive et réussissait mieux, en travaillant moins que la France !
Si c’est ainsi que la gauche entend combler notre écart de compétitivité avec l’Allemagne et relever les comptes de la Nation, nous sommes mal, très mal partis !