Cela signifie, je le répète, que le Gouvernement est réaliste.
Il est parfaitement normal de connaître une croissance relativement dynamique en période de sortie de crise, ce que confirment d’ailleurs les premiers résultats de 2011. Ces chiffres nous permettent de partir sur de bonnes bases pour respecter les objectifs.
À ce stade, aucun élément ne nous conduit à revoir cette perspective de croissance de 2, 25 %. En revanche, l’engagement qui nous lie, c’est bien évidemment celui des soldes publics.