Vous avez commencé à le faire. Les services du ministère de l'économie et des finances ont contribué à vos travaux, à travers des simulations tirées de nos modèles macro-économiques.
Qu'en ressort-il ? Je n'ai pas voulu, contrairement à ce qui se fait habituellement, que l'on ferme le débat avant même qu'il soit ouvert. C'est vraiment l'un des problèmes de la démocratie française : cette pensée unique est si conformiste que dès qu'une idée nouvelle est avancée la totalité des experts, ou prétendus tels, commencent par la démolir en disant: « Circulez, il ne faut pas réfléchir ».