Il faut surtout avoir à l'esprit que rien n'est mécanique : les travaux les plus savants ne suffisent pas et il faudra certainement, si on devait aller plus avant, des évaluations concrètes et des expérimentations.
Les cotisations sociales peuvent être perçues par les Français comme une assurance ou comme un salaire différé, et, pour cette raison, elles peuvent être plus facilement acceptées. La TVA est parfois ressentie, elle, comme un impôt qui réduit le pouvoir d'achat. Si l'on veut remplacer l'un par l'autre, il faut que la finalité soit comprise et acceptée, pour ne pas conduire à des tensions supplémentaires sur le partage des revenus entre salariés et employeurs.