Comme je l’ai rappelé tout à l’heure, le secteur médico-social a trop souffert des effets délétères du cloisonnement pour ne pas saisir cette occasion de mettre fin à la dyarchie au sein de notre service public de la santé.
Il est en effet nécessaire de développer des approches transversales et décloisonnées, conçues en fonction des besoins. Seule une organisation unique décloisonnée, rassemblant les forces et les acteurs, peut y contribuer.
C’est la raison pour laquelle je m’associe aux propos de Roselyne Bachelot-Narquin pour soutenir, à mon tour, l’amendement n° 1010 rectifié, amendement de synthèse, qui, par les précisions qu’il apporte, doit permettre d’avancer dans le bon sens, en répondant aux inquiétudes des uns et des autres et aux attentes exprimées, notamment par M. Vasselle.