Il faut reconsidérer la façon dont sont calculées la croissance et l’évolution du niveau de vie.
Cela, c’était pour la philosophie !
J’en viens aux applications directes de cette philosophie.
Selon nous, les produits – insecticides ou pesticides, par exemple – qui seront la cause, dans les cinq ans ou dix ans à venir, du développement de cancers chez les agriculteurs ou ceux de nos concitoyens qui vivent dans le monde rural ne sont pas un « plus » pour la croissance et pour le niveau de vie, car il faudra un jour réparer les désastres et les dégâts qu’ils auront causés à la santé.
Selon nous, mieux vaut soigner en amont.