Elles partagent en outre la même volonté de conserver de solides implantations industrielles.
En effet, pour maintenir l’emploi et résister à la crise, l’Europe doit, avant toute chose, conserver un socle industriel fort, comme l’a souligné d'ailleurs M. le rapporteur général. Ceux qui ont oublié cette réalité, c'est-à-dire nos amis Anglo-Saxons, en payent aujourd'hui le prix. À l’évidence, les économies qui étaient trop orientées vers la finance et les services et qui ont renoncé à maintenir un socle industriel fort souffrent aujourd'hui deux fois plus de la crise que les autres.