Le présent projet de loi vise à replacer la personne au coeur du dispositif et à la protéger, notamment en évaluant sa capacité à rédiger son testament. Dès lors, pourquoi ne pourrait-on pas également évaluer sa capacité à le révoquer quelques années après, si la maladie a malheureusement empiré ?
Il s'agit non pas de porter un jugement de valeur, mais bien d'établir un simple diagnostic sur la capacité de la personne : a-t-elle encore la capacité qui lui avait été reconnue lors de la rédaction de son testament ?