Il est vrai que notre débat est riche. Personne ici n’exprime de position à la légère, car ce texte soulève des questions d’ordre intime. En outre, nous avons un rôle, celui de nous interroger sur les mesures que nous votons : respecteront-elles ou, au contraire, affaibliront-elles nos valeurs dans les prochaines années ? Permettront-elles ou non des avancées de la recherche ?
Deux débats m’ont particulièrement marqué dernièrement – tous deux ont d’ailleurs eu lieu, ici, au Sénat –, celui sur la fin de vie et celui sur la bioéthique.