Si la réalité était celle que vous décrivez, monsieur le sénateur, pourquoi m’adresserait-on des reproches sur certaines travées ? Vous savez, quand les tenants de positions diamétralement opposées concentrent leurs feux sur un point précis, c’est qu’on n’est pas loin de l’équilibre. Voilà la vérité ! Vous connaissez mieux que moi les rapports de force dans cet hémicycle….
Je rappelle, comme l’a déjà fait M. Godefroy tout à l’heure, qu’il n’y a plus de moratoire et plus de clause de révision automatique. Nous n’effectuons donc pas un travail symbolique.
M. de Legge a dit de la position du Gouvernement qu’elle était un moindre mal. Je prends cela pour un compliment.