Je ne serai pas longue, mes chers collègues, car Alain Milon a déjà exposé tout ce que je souhaitais vous dire.
Je voudrais néanmoins insister sur la remarquable tenue de ces débats et souligner à quel point j’ai admiré la cohérence dont chacun d’entre vous a fait preuve dans ses convictions.
Je pense, en particulier, à Marie-Thérèse Hermange. Tout le monde sait que je ne partage pas ses convictions, mais je tiens à la féliciter d’avoir conservé cette cohérence. Je voulais aussi la remercier de nous avoir si bien éclairés l’année dernière. Je ne suis pas certaine que, sans cet éclairage, j’aurais pris conscience de manière aussi nette de mes responsabilités dans le cadre de l’examen de ce projet de loi.
Je crois que notre collègue mérite vraiment qu’on lui rende hommage.
La qualité de nos échanges doit aussi beaucoup aux présidents de séance qui se sont succédé – M. Jean-Pierre Raffarin, pour sa toute première présidence, M. Jean-Léonce Dupont, M. Bernard Frimat, M. Roland du Luart et vous-même, madame la présidente –, ainsi qu’à l’ensemble de nos collaborateurs, qui, dans les différentes fonctions qu’ils occupent, travaillent silencieusement auprès de nous.
Enfin, madame la secrétaire d’État, tout en vous chargeant de transmettre mes remerciements à M. Xavier Bertrand, je vous remercie de votre écoute, de vos explications, de vos réponses et, même si nous n’avons pas toujours été d’accord, bien entendu, de votre courtoisie.