Le Gouvernement est défavorable à l'amendement n° 104.
En revanche, il est favorable à l'amendement n° 24 de la commission, qui confie au tribunal de l'application des peines, et non au juge de l'application des peines, le soin de décider qu'une personne déjà condamnée à un suivi socio-judiciaire pourrait être placée sous surveillance électronique mobile. Il est vrai qu'une telle disposition renforce les garanties judiciaires.
Sur l'amendement n° 125 rectifié, le Gouvernement s'en remet à la sagesse du Sénat.