Je ne partage pas l'analyse qu'a faite M. Gélard.
Le fait qu'il y ait, sur les listes municipales, par tranche de six candidats, trois femmes, n'empêche pas d'établir des listes sur lesquelles figurent, de manière alternée, un homme, une femme, ce qui était le cas dans un certain nombre de communes.
De la même façon, le fait de prévoir un nombre minimum de femmes vice-présidentes ne devrait pas empêcher les conseillers généraux d'en nommer plus, surtout si tel est le cas à l'heure actuelle. Mais si cet amendement, tel qu'il est rédigé, conduit au résultat inverse de celui que nous recherchons, je préfère évidemment le retirer.