Il s'agissait d'un amendement d'appel, monsieur le président.
Voilà quelques mois, le président de notre formation politique, l'UMP, avait souligné qu'il serait peut-être plus opportun d'attribuer une prime aux partis présentant des femmes que de pénaliser ceux qui n'en présentent pas.
Une telle déclaration va, me semble-t-il, dans le bon sens. Ce système permettrait de valoriser les femmes en ne leur fixant pas, en quelque sorte, un prix. Tel était en tout cas l'objectif.
Certes, monsieur le rapporteur, le système que j'ai essayé de monter est effectivement assez compliqué, mais je voulais que l'on essaie à l'avenir de réfléchir sur un procédé un peu différent.
Dans ces conditions, je retire l'amendement n° 51 rectifié.