J’ai écouté avec attention notre collègue René-Pierre Signé et je souscris totalement à ses propos.
Le drame, c’est que les langues régionales ont souvent été manipulées à des fins politiques obscures.
Vous parliez de la Belgique, qui risque d’éclater en deux. Or, dans ce pays, le mouvement rexiste s’est précisément appuyé sur une identité non pas flamande, mais flamingante.
La vigilance est donc nécessaire.
Mais, quand je vois notre accord presque parfait sur ce texte, je ne peux m’empêcher de répéter ce que je disais à l’instant à Roland Courteau, en aparté : « Lorsque l’enfant est beau, il ne manque pas de pères ! »