Chacun sait bien qu’il s’agit d’un problème extrêmement difficile, et que la reprise de la politique de colonisation par Israël n’a pas facilité les choses. La diplomatie française ne peut tout de même pas être rendue responsable de cet échec.
Mes chers collègues, je suis d’autant plus à l’aise pour évoquer la situation en Tunisie que le groupe d’amitié France-Tunisie – je parle sous le contrôle de son président, Jean-Pierre Sueur –, dont je suis membre, a condamné avant le départ de M. Ben Ali les mesures de répression mises en œuvre.