Devenu président de ce groupe depuis quatre ans, j’ai – comme le font tous les présidents de groupes d’amitié – entretenu des rapports avec les autorités légitimes, ce qui est normal. On ne peut pas reprocher au président d’un groupe d’amitié ses relations avec les dirigeants d’un pays dans lequel les libertés s’expriment difficilement.
Monsieur Rohan, sachez que le groupe d’amitié France-Tunisie a reçu officiellement, au Sénat, Mme Souhayr Belhassen, présidente de la Fédération internationale des droits de l’homme…