Pourquoi, par exemple, le deuxième porte-avions, qui, hier, était si indispensable et tellement souhaité que des crédits en ce sens avaient été ouverts en 2006 et en 2007, devient-il si difficile à envisager aujourd’hui ?
Comment se fait-il que des implantations militaires si intouchables et indispensables entre 2002 et 2007 deviennent subitement superflues ?
La réalité, c’est qu’il vous faut aujourd’hui, monsieur le ministre, payer la facture et l’héritage catastrophique de l’ère Chirac–Alliot-Marie–Sarkozy.