Il restait encore les deux points auxquels vous faisiez allusion, qui méritaient – et, je crois, méritent encore aujourd'hui – que nous poursuivions le dialogue avec le Sénat et, en particulier, ses commissions des lois et de la culture, pour lesquelles le garde des sceaux, la Chancellerie et moi-même éprouvons – et je sais que vous n’en doutez pas – un profond respect.
Nous avons accompli un travail considérable qui aura pour effet d’ouvrir l’activité des ventes aux enchères publiques, de la libéraliser mais dans des limites claires, d’offrir de nouveaux services tout en conservant, et même en améliorant, un haut niveau de qualité.
Ainsi, sous l’apparence d’un texte technique, cette importante proposition de loi permettra de réels progrès, ce dont je me réjouis.