Un certain nombre d'évolutions apparaissent donc au travers de ce texte. Elles ne peuvent être considérées comme des reculs par rapport à ce que nous avons connu pendant trop longtemps : l'immobilisme a failli tuer La Poste française.
Il en est d'ailleurs de même pour l'ensemble des services publics : nous devons les réformer et prendre en compte l'avis des usagers, qui, dans la plupart des cas, sont devenus des clients du service public.