Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, en quelques minutes, je souhaite exprimer trois préoccupations et vous faire une proposition.
Je débuterai mon propos par un plaidoyer pour les sciences humaines et sociales. Certes, cette recherche semble moins propice en brevets et en développements industriels cotables en bourse, mais elle peut être très rentable, au sens noble du terme.
L'état de notre endettement montre, à l'évidence, que nous sommes en panne d'alternative économique. Au passage, je pourrais aussi dire que l'état du discours politique mérite que l'on se penche sur une rhétorique provocatrice se servant de mots et d'expressions-chocs pour mieux stimuler des réflexes xénophobes. Il y a des précédents, étudions-les !