De nombreuses filières très professionnalisées permettent de réels succès pour leurs étudiants et leurs anciens étudiants.
Mais là où le bât blesse, c'est en ce qui concerne le taux d'échec en premier cycle. Les chiffres sont absolument inacceptables : le fait que 41 % des étudiants n'obtiennent jamais de diplôme, que ce soit en deux, trois, quatre ou cinq ans, est particulièrement anormal. La mobilisation des universités est nécessaire. Certaines ont de meilleurs résultats que d'autres.