Il faut que le Gouvernement et le Président de la République, qui a pris la responsabilité de présider un conseil interministériel, disent avec force que rien ne doit justifier des rentes illicites, une économie de comptoir qui exploite les domiens, et des coûts de fret injustifiés.
Avec la Constitution, la LODEOM et les règles communautaires, nous avons les moyens de nous approvisionner là-bas dans les mêmes conditions qu’ici. Le transport ne compte plus énormément dans le coût d’un produit ; la mondialisation en est la preuve.
Alors que la fabrication d’un produit est désormais fragmentée de la Chine à New-York, comment se fait-il que, pour nous, l’approvisionnement intègre encore les coûts de la marine à voile ?