Voilà quelques jours, devant la commission des affaires économiques, M. le ministre a évoqué ce parallélisme et les difficultés dans lesquelles il ne fallait pas retomber.
Il est aujourd'hui de notre responsabilité de permettre à Gaz de France d'aller de l'avant et de procéder aux alliances stratégiques qui lui semblent opportunes sans recourir à l'endettement. C'est ainsi que la pérennité du service public sera assurée. Comme le prouve l'exemple de France Télécom, le service public est mieux garanti par une réglementation rigoureuse que par le statut de l'entreprise.
Ce texte ouvre des possibilités...