… dans lesquelles ne seront présentes que les sages-femmes. Monsieur Milon, si vous n’avez effectivement pas soutenu leur ouverture, Mme la ministre Roselyne Bachelot-Narquin l’a fermement défendue !
Certes, Mme Bachelot-Narquin n’avait pas forcément été suivie sur l’ensemble des travées. Pour notre part, nous avions insisté sur le fait que, si les maternités ne doivent pas être surmédicalisées, il convient que les naissances se déroulent dans des endroits suffisamment sécurisés pour la mère et l’enfant.
De fait, la gynécologie médicale pourrait permettre de suivre les femmes jusqu’à leur accouchement, sans que les maternités aient besoin d’avoir recours à un matériel particulièrement important.
En effet, il ne me semble pas que ces deux spécialités importantes, la gynécologie médicale et l’obstétrique, s’opposent. Aujourd’hui, il est regrettable que la gynécologie médicale soit en voie d’extinction. C’est l’idée que nous défendons par le biais de cet amendement.