Monsieur le ministre d’État, votre ministère n’échappe pas à cette règle, même s’il avait déjà consenti des efforts bien avant la révision générale des politiques publiques.
Je continue toutefois de penser que des économies restent toujours possibles. Je pense, par exemple, à la co-localisation de nos consulats ou centres culturels avec nos partenaires européens, notamment allemands, ainsi qu’à la rationalisation de notre réseau diplomatique et consulaire, en particulier au sein de l’Union européenne, ou encore à la rationalisation de notre dispositif de coopération culturelle, avec la mise en place de l’Institut français.