Mon cher collègue, j’explique simplement les raisons pour lesquelles je ne voterai pas l’amendement n° II-30 et j’utilise le même temps de parole que l’orateur précédent.
Monsieur le ministre d’État, à une époque – vous en souvenez-vous ? –, la somme dédiée aux bourses a été augmentée de 50 millions de francs, ce qui fut une très bonne chose. Tous les membres de l’opposition au sein de l’Assemblée des Français de l’étranger avaient alors applaudi debout.
Mes chers collègues, vous feriez bien aujourd’hui, comme les membres de mon groupe, de ne pas voter cet amendement.