a indiqué qu'il appartenait aux départements, face à la hausse du prix des carburants, susceptible de ralentir la nouvelle dynamique de l'espace rural, d'imaginer des modes de transport en commun alternatifs. Il a également insisté sur le fait qu'un rural coûtait moins cher à la collectivité qu'un urbain eu égard aux nombreux services dont ce dernier dispose. Il a, par ailleurs, noté que le renouveau démographique de l'espace rural était en soi générateur d'activités. Après avoir souligné la nécessité de prendre en compte les besoins réels de la population rurale, par exemple en matière de petite enfance et d'offre sanitaire, il a jugé injuste et insuffisante la politique actuelle de péréquation.