a souligné les apports majeurs de la biodiversité, tant qualitatifs que quantitatifs, estimant ces derniers à 30.000 millions de dollars chaque année et déploré l'absence de prise en compte de ces bénéfices dans le calcul du produit intérieur brut (PIB). Il a en conséquence appelé de ses voeux la définition de nouveaux indicateurs, mettant en garde les commissaires contre la tendance « optimiste » des modèles économiques en matière climatique et écologique. Il a fait valoir la nécessité de favoriser la progression de la biodiversité eu égard au défi démographique se profilant à horizon 2050, en insistant sur la gravité des conséquences en cas de sa régression.