a estimé que la France pouvait compter sur des chercheurs de grande qualité, mais souffrait d'une lisibilité insuffisante de la recherche publique et de centres de recherches de taille trop faible si on les compare à leurs homologues américains. Néanmoins, la création des pôles de compétitivité et la réforme récente du crédit d'impôt recherche soutiennent indirectement, mais efficacement, le secteur de la microélectronique.