s'est félicitée à son tour de l'action de la France dans l'évacuation de ses ressortissants et de son engagement dans la crise, soulignant la pertinence des garanties préalables demandées. Elle a estimé que l'action de la FINUL renforcée pouvait contribuer à une évolution positive de la région, et notamment du conflit israélo-palestinien. Elle s'est interrogée sur les modalités du contrôle de la frontière syro-libanaise et s'est inquiétée des conséquences de la présence dans la zone de nombre d'engins explosifs, que ce soit des bombes à sous munitions ou des mines antipersonnel ou antichar, laissés sur le terrain par les protagonistes du conflit.