s'est inquiété de la composition hétérogène de la FINUL qui devra de surcroît agir sur un territoire réduit et dévasté par les offensives israéliennes. Il s'est interrogé sur la pertinence de l'utilisation d'armements lourds, tels les chars Leclerc, pour combattre de petites unités mobiles, et a exprimé sa crainte d'une rupture du cessez-le-feu par la poursuite des trafics d'armes entre la Syrie et le Liban.