est revenu sur les causes de ce sentiment de sécurité, se demandant s'il ne fallait pas surtout l'attribuer aux vertus de l'éducation et de la prévention. Il a également attiré l'attention des commissaires sur le risque de tsunami, pour la prévention duquel le Japon se distingue, notant qu'il pourrait être judicieux de s'inspirer de ses structures de surveillance et d'alerte au moment où se mettent en place des institutions comparables en Méditerranée. Il a enfin souhaité obtenir quelques précisions sur la composition du bouquet énergétique japonais, et notamment sur la part dévolue aux énergies fossiles.