a indiqué qu'aucune solution unanime n'avait été dégagée par le groupe de travail. Il a précisé que certains participants avaient souhaité que cette action soit ouverte à tout demandeur, mais que la majorité du groupe de travail avait considéré que l'action devait être réservée aux associations de consommateurs agréées, ce qui avait pour avantage de prévenir l'introduction concomitante de plusieurs instances, insistant sur le fait que le nombre réduit de ces associations permettrait de mieux gérer l'action de groupe. Il a ajouté que, dans les pays dans lesquels une action collective avait été introduite, les instances se terminaient le plus souvent par des transactions, cette constatation ayant conduit les membres du groupe à privilégier le système d'opt in dans la mesure où il est plus facile de transiger avec un groupe dont les membres sont connus. Il a souligné que ces questions devraient être tranchées à l'issue de la concertation en cours.