a rappelé que le gouvernement avait indiqué vouloir prendre en considération à la fois les exigences de protection des consommateurs, la nécessaire compétitivité des entreprises françaises, ainsi que la nécessité de respecter les principes du droit français. Il a estimé qu'une action, quelle qu'elle soit, intentée à l'égard d'une entreprise préjudiciait inévitablement à l'image de celle-ci.