s'est interrogé sur l'articulation entre la politique de développement conduite avec les crédits du programme 110 et les autres politiques menées par le ministère.
Il a souhaité savoir si l'influence de la France au sein des institutions de Bretton Woods était à la mesure de l'effort budgétaire qu'elle consent.
Il a demandé des précisions sur le coût total pour la France de l'initiative d'annulation de la dette multilatérale (IADM) et sur les modalités de contrôle de la mise en oeuvre des crédits multilatéraux, qui, si l'on prend l'exemple de Madagascar, ne semblent pas contrôlés.