a tout d'abord tenu à relativiser l'influence de l'ANR qui représente 8% du budget de la recherche hors masse salariale. Elle a ensuite observé que si les budgets semblent corrects dans le domaine de la recherche fondamentale, il en est autrement dans celui de la recherche dite partenariale dont le développement est très insuffisant. L'enjeu de la formation est donc réel dans ce domaine et devrait s'inscrire dans une logique de recherche de débouchés économiques afin de soutenir l'activité industrielle en France. La hausse de 30% de l'activité partenariale des instituts Carnot a montré qu'un tel mouvement, au coeur des enjeux de la recherche en France, était possible.