ouvre alors la discussion à la presse; les questions des journalistes concernent :
- la responsabilité de la définition des méthodes d'évaluation de l'aléa sismique et l'opportunité d'un réexamen de celles-ci ;
- la justification du caractère complexe de la question de la sous-traitance ;
- l'importance du risque de tsunamis en Atlantique du Nord, par exemple à la suite d'un effondrement côtier ;
- le doute induit par les événements de Fukushima sur la capacité à maîtriser un risque nucléaire ;
- la teneur des trois incidents de niveau 2 intervenus en 2010 ;
- une éventuelle révision des critères d'exclusion et de confinement suite à un accident nucléaire ;
- la capacité à mettre en oeuvre, en France, une évacuation des populations dans un périmètre de vingt à trente kilomètres autour des centrales ;
- l'augmentation des coûts de maintenance consécutifs à une réévaluation des exigences de sûreté ;
- les conditions d'une prolongation de quarante à soixante ans de l'autorisation d'exploitation des centrales.