a quant à lui apporté les réponses suivantes aux différentes interrogations :
- les radios associatives auront des difficultés à passer au numérique et un renforcement conséquent du soutien financier de l'État est impératif ;
-les radios musicales et les « web radios » sont complémentaires dans la mesure où les premières tendent à fédérer des publics larges, alors que les secondes ont des stratégies de niche. C'est la raison pour laquelle le CSA n'a pas attribué beaucoup d'autorisations aux radios souhaitant avoir une programmation musicale trop spécialisée ;
- le risque de la concurrence excessive est largement tempéré par le fait que la RNT n'entraîne pas une explosion de l'offre comme cela a été le cas pour la TNT ;
- des délais précis ont été fixés aux constructeurs pour imposer le passage aux récepteurs numériques.
- enfin, le choix d'accepter plusieurs radios d'information sportive découle du fait que les sports sont très nombreux et que la pluralité des opérateurs ne pourra que favoriser leur connaissance.