En ce qui concerne le cheval, c'est son exclusion par la Commission européenne de la catégorie « denrée alimentaire » qui entraîne le relèvement du taux de TVA. Cette décision est d'autant moins cohérente que l'on consomme encore en France environ 57 000 chevaux, dont seulement 10 000, il est vrai, sont originaires de France, le reste provenant d'Amérique latine, notamment. Et le cheval n'est pas le seul secteur concerné : les filières du coton, du chanvre, du lin, des fleurs tomberont bientôt sous le coup des décisions de l'administration européenne. Or, j'insiste là-dessus, l'équitation n'est plus un sport de riche, mais un sport très répandu...